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L’art du Souffle et des Mudras. Voyage au cœur des mains de Marie-Dominique Bleuler et Bruno Houdayer. Le Courrier du Livre, 19 rue Saint Séverin, 75005 Paris.

www.editions-tredaniel.com/

Marie Dominique Bleuler - est enseignante de Qi-Gong, elle a accordé une place particulière à l’étude et la pratique des mudras sans son cheminement, à la croisée de l’Orient et de l’Occident. Elle s’est associée au photographe et créateur visuel Bruno Houdayer pour nous proposer ce livre pratique et esthétique sur l’art du souffle et des mudras.

Les mudras présentés furent transmis à Marie Dominique Bleuler par des maîtres chinois. Ils s’inscrivent ici dans une approche de réconciliation et de découverte accessible à tous.

« C’est un livre, nous dit-elle, pour éveiller les potentiels intérieurs, animer les mains ou les réanimer, apprendre ou réapprendre à accorder et jouer avec son premier instrument : les mains, prolongement du cœur et de l’esprit. »

Si l’ouvrage est structuré en plusieurs parties, le lecteur peut s’engager dans cette expérience par celle qu’il souhaite : Découverte de l’art du souffle et des mudras – Pratique de l’art du souffle et des mudras – Pratique des boules chinoises de santé – L’art du souffle et des mudras, une pratique source de bienfaits – Découverte visuelle et pratique des mudras – Pratiques méditatives avec mudras – Quand pratiquer l’art du souffle et des mudras ? – La pratique à tous les âges, seul ou en groupe.

L’originalité de la démarche tient au choix de l’écriture visuelle, privilégiée. Dessins et photographies favorisent une rencontre directe avec le geste et participent à la saisie des exercices proposés. C’est une redécouverte respectueuse du corps, dans sa totalité comme dans ses parties, dans ses fonctions, par le ressenti.

« L’énergie, la force de vie, circule partout dans le corps tels des courants de rivières nommées méridiens, qui descendent et remontent du bout des pieds ou des mains. Ils circulent dans le tronc, la tête et forment un vaste réseau.

Les méridiens sont des trajets reliés à des organes, passant dans des paysages intérieurs variés du corps. »

Le souci pragmatique n’empêche pas une dimension poétique, typique du taoïsme.

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